MAISON DE SOPHIA,
là où les forces de la nature peuvent se reposer.
Être humain c’est être une force de la nature qui peut être fragilisée par les expériences de la vie. Tout comme un orage n’a pas le pouvoir de détruire le ciel, nous pensons que ces expériences ne dénaturent pas l’être que vous êtes. À la Maison de Sophia, nous reconnaissons et côtoyons, entre autres, une de ces forces de la nature, la femme. Des femmes qui, pour de multiples raisons, n’ont plus de toit, n’ont plus de chez soi. On retrouve dans l’organisme, ce lieu de transition, de réconfort, de solidarité, d’entraide et de bienveillance. On y propose un projet social qui tient compte des différents besoins en matière d’instabilité résidentielle et de désafilliation.
L’ACCUEIL
Parce que que les femmes ont besoin d’avoir une place où elles se sentent appréciées malgré leurs difficultés.
L’AUTONOMIE
Parce que cela développe la faculté de se déterminer par soi-même, de choisir, d’agir librement.
LA CONFIANCE DU POTENTIEL
Parce qu’il est primordial que la femme comprenne qu’elle a des compétences acquises importantes pour répondre à ses objectifs personnels.
LE RESPECT DU RYTHME
Parce qu’il est important que la femme en difficulté puisse cheminer en toute confiance et liberté.
L’AMOUR
Parce que l’être humain a besoin de se savoir aimé en tout temps.
C’est pour être inspiré.e.s de la sagesse dans nos interventions que nous avons choisi l’appellation «Sophia» pour désigner l’hébergement. Une attitude et une pratique qui implique d’incarner au quotidien ce que nous souhaitons transmettre aux femmes. C’est donc grâce à un processus collectif que nous co-créons un espace d’opportunités, au-delà des difficultés rencontrées. Pour accomplir cela, nous observons que chaque personne qui gravite autour de la Maison de Sophia personnifie si bien la philosophie que le ‘chez soi’, bien plus qu’un lieu, s’implante et réside dans le cœur de cette belle communauté.
MAISON DE SOPHIA,
là où se dissipe le brouillard
Perdre ses repères implique parfois (souvent) d’avoir cette perception qu’on s’est perdue soi-même. Perdre ses repères c’est se créer une identité à partir du brouillard-détresse. Perdre ses repères c’est croire qu’on devient ce brouillard et que notre vrai moi s’est dissout jusqu’à s’éteindre.
C’est pourquoi nous croyons que la ré intégration sociale commence par y introduire la lumière: ce sentiment d’être vue avec clarté, telle que nous sommes. La ré intégration débute avec ce “bienvenue”, cette reconnaissance de “moi”, cette place significative quelque part, une valeur, un rôle.
maisons
femmes hébergées
années de service
femmes aidées
MAISON DE SOPHIA,
là où il fait bon d’en parler.
« Vous m’avez apporté… je ne sais pas… de l’amour, je pense. »
-Annick